dimanche 15 septembre 2013

Press release : France : Indemnités de représentation et de frais de mandat ou du détournement en République de l’argent des contribuables.

Entre rapt de démocratie et dissimulation malhonnête de sincérité en 2013, la France montre l'exemple à ne pas suivre.

Vous avez dit: IRFM ? 

Ces indemnités sont de 6 412 euros par mois. Idéalement, elles doivent permettre aux députés de "faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l'Assemblée". Or, en France, en 30 ans de réformes fiscales, institutionnelles et constitutionnelles, jamais une seule majorité de "droite" ou de "gauche" ne s’est attaquée à cette question. Quid ?

Et c’est là que le bât blesse, car dans la plupart des cas, un très grand nombre d’élus de la représentation nationale n’hésite pas à organiser des détournements volontaires de fonds publics pour servir des intérêts strictement privés.
La France berceau de la démocratie et des « droits de l’homme » dévoile peu à peu son double visage pernicieux.

*  *  * 

Le pays des situations de rentes entretenues au sommet de l’édifice politique et démocratique, invente des stratagèmes pour se constituer en douce un patrimoine immobilier. En l’espèce, cette indemnité a permis de nombreux tours de passe-passe. Il s’agit, par exemple, de faire passer sur l'enveloppe  budgétaire publique le crédit lié à l'achat d'un logement; celui-ci servira ensuite de permanence parlementaire avant que de revenir dans le cercle des biens privés.Que penser de telles pratiques toujours en vigueur en France, alors que l’Europe s’érige pour la forme contre toute pratique de corruption financière ?  
Et si l’Etat Français, en cela les députés et les sénateurs qui se livrent à la fraude, n’était que le prolongement dissimulé des anciennes habitudes ramenées du fin-fond des traditions d’Ancien Régime (...)

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